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Dans un accord, notes répétées à l’octave au-dessus ou en-dessous. On parle également de doublure de voix.
Étendue des sons de l’extrême grave à l’extrême aigu.
La tonique d’une gamme mineure se situe une tierce mineure en-dessous de la tonique de la gamme majeure « relative ». Par exemple Sol majeur et MI mineur.
Effet que l’on obtient en « relâchant » une corde préalablement « bandée ».
Lorsqu’un accord reste joué dans l’ordre de ses notes constituantes (de la plus grave à la plus aigüe) il devient dans son état fondamental. Lorsque modifie cet ordre, on obtient un renversement de cet accord.
La barre de reprise est un signe qui signifie que l’on doit reprendre le morceau du début.
Indication placée sur la partition indiquant à l’interprète à quel moment il doit prendre sa respiration.
Forme instrumentale dont l’écriture est proche de l’improvisation et pouvant ressembler à la fugue. En fait, c’est à l’époque baroque une des principales formes de la musique d’orgue.
Courte phrase mélodique servant à rythmer un morceau support aux paroles.
Mélodie instrumentale destinée à servir de refrain dans une pièce vocale.
Style énergique souvent caractérisé par l’utilisation de guitare électrique, basse et batterie.
Son pouvant être utilisé librement sans payer de droits supplémentaires.
Organisation de la durée musicale.
Ensemble des pièces musicales d’une certaine catégorie (par exemple le répertoire pour piano, le répertoire d’un soliste).
Résoudre une tension mélodique ou harmonique consiste à enchaîner des intervalles ou accords « dissonants » qui créent la tension avec des intervalles ou accords « consonants ».
Extrait audio préenregistré (boucles rythmiques, mélodiques, sons isolés).
Instrument virtuel permettant de jouer des sons préenregistrés ou échantillons (samples).
Type de danse ancienne à 3 temps, de caractère grave et majestueux.
Degré VII de la gamme majeure, appelée sensible car c’est un degré faible attiré par la tonique.
Figure rythmique résultant d’une division d’un temps en sept parties égales.
Figure rythmique résultat d’une division de deux temps binaires en six parties égales.
Pièce musicale écrite pour six interprètes.
Rythme qui consiste à jouer dans une mesure 4/4 les croches de façon ternaire.
Les silences sont des symboles qui indiquent la durée de l’absence d’émission de note.
Forme d’opéra allemand dans lequel les dialogues remplacent les récitatifs entre les airs.